Gibson est une marque plus que centenaire, crée en 1902 par Orville Gibson, c'est la première marque de guitare électrique à manche collés, on lui doit les ouïe en " ƒ ", le chevalet réglable Tune-O-Matic, la barre de tension ( truss rod en 1921 par Lloyd Allayre Loar ) les table bombées ( Arch Top ), les micros Humbucker ( doubles-bobinages crées en 1955 par Seth Lover ), les guitares à caisse pleine autrement dit, la Guitare électrique. C'est en collaboration avec Mr Les Paul, et au travail convainquant qu'a fait Rickenbacker pour la sonorisation électrique, qu'est née la première guitare " Solid Body " ( sans caisse de résonance ) en 1952 est née la " Gibson Les Paul ", puis la Flying V, l'Explorer en 1958, et la SG en 1961.
Il y a tellement d'artistes qui ont joué sur Gibson que ce serait trop long de tous les nommer, alors voici une liste de quelques grands qui ont donné ses lettres de noblesse à Gibson :
- BB King - Chuck Berry - Angus Young ACDC - Keith Richards Rolling Stones - Jimmy Page Led Zepellin - Tommi Iommi Black Sabbath - Zakk Wylde Ozzy Osbourne - Slash Guns n' Roses...
La Gibson Les Paul
On s'est tellement accoutumés à la Les Paul, qu'il est peut-être difficile de se figurer le défi que sa concepion représenta dans les années '50. La firme Gibson vit alors une apogée, qui se cristallise dans l'endorsement de nombreuses figures du Jazz, de la Pop ou de la musique classique. Mais un changement se prépare :
La guitare Solid Body.
"
Gibson " et "
Corps plein " ne semblent pourtant pas être les notions les plus conciliables : Par rapport à une L-5 ou une super 400, les petites " lap steel "(
guitare hawaïenne ) de Rickenbacker qui ressemblent à des poêles à frire (
Frying Pan ), les Fender embryonnaires sont rejetée pour leur caractère massif de planche ( le corps de ces prototype consiste en un morceau de bois plein ). Gibson, qui à l'époque incarne une certaine finesse, prend le risque d'associer son nom au terrain qu'explore Fender, Rickenbacker, et un certain
Lester Polfus plus connu sous le nom de Les Paul guitariste et expérimentateur. Ted Mc Carty alors president de Gibson, dira : " Il a fallu que l'idée fasse son chemin tant la fabrication d'une guiare à corps-plein nous paraissait au départ requérir un savoir faire minimal, d'où notre désintérêt. Puis nous avons fabriqués de telles guitares en érable, et nous avons rencontrés deux problèmes : Leur poids, et leur Sustain ( Durée de la note ) car nous ne pouvions plus les faire taire ! "
La guitare Solid body devient alors un véritable défi, digne de la maison, et Gibson choisi de s'associer avec cet artiste qui s'est toujours passionné pour l'idée d'un corps plein : Les Paul. En 1941, ce guitariste populaire a en effet créée l'une (la) des

premières guitare de ce genre, la "
Log " surnommée la bûche, en raison de son apparence rudimentaire : convaicu de l'effet d'amplification du sustain que devrait avoir une caisse-pleine, il en a fabriqué une de ses mains à partir d'un morceau de pin. Si la Gibson Les Paul telle que nous la connaissons aujourd'hui est moins sa création que celle de la firm Gibson qui s'inspire alors de la forme plus classique de ses précédentes guitares à caisse creuse, et non des tentatives grossières des uns et des autres, les deux parties s'engagent tout de même dans une collaboration qui devait s'avérer de longue durée.
Encore récemment d'ailleurs, elle se voyait célébrée à l'occasion d'un concert anniversaire organisé par Gibson à Las Vegas pour les 90 ans de Les Paul. Les Paul dit avoir d'abord eût deux modèles à l'esprit : "Le premier de couleur noire, classe comme un costardet un autre de couleur or, de façon à se démarquer, parce que cette teinte ne se faisait pas à l'époque, et que cette couleur évoque la sophistication ". Récemment Ted Mc Carty ajoutait : " Nous ne voulions pas non plus que Léo Fender et les autres découvrent l'alliage d'érable et d'acajou que nous venions d'élaborer, ces couleurs avient donc aussi

l'avantage de contribuer à la protection de notre secret ".
En 1952 le modèle connait des débuts prometteurs :
1715 instruments sont expédiés, et
2245 l'année suivante; alors
en 1954 Gibson lance la
Les Paul Custom et la
Les Paul Junior, mais les ventes restent limitées, peut-être parce que la seule célébrité à l'utiliser était Les Paul lui-même et que sa notoriété va en faiblissant. Après un arrêt de la production, au début des années '60, l'instrument redevient populaire, quand il est adopté par.....
Keith Richard, Jimmy Page ou Eric Clapton !Gibson reprend alors la production
en 1967 et cette guitare devient alors de loin le modèle le plus prisé. Rançon de la gloire, c'est aussi le modèle le plus copié, la Les Paul est une guitare fondamentale donc, qui donnera naissance à la
mythique SG, en gardant son statut même en marge de celle-ci. Aujourd'hui, il existe plus d'une trentaine de type de Les Paul la plupart de ces instruments étant toujours aussi appréciés et utilisés. Il suffit en outre de ragarder les guitares actuelles pour mesurer l'influences de la
Les Paul sur l'ensemble des modèles Rock. La plus grande originalité d'une invention n'est elle pas précisément son aptitude à anticiper en se posant comme une base pour des applications ultérieures ? En l'occurrence de nouveaux styles de musique aujourd'hui... C'est le cas de la
Les Paul qui est née bien avant l'explosion du
Rock n' Roll, lequel allait parfaitement s'accommoder du modèle. Et si Gibson transforme l'instrument entre 1952 et 1993, les différences ne sont pas plus

remarquable que la continuité en présence. Alors que les modèles sont souvent conçus pour servir un style musicale existant, soulignons l'empreinte décisive de la Les Paul sur l'ensemble des guitares rock qui allaient lui succéder.
La Gibson Les Paul est le premier modèle de guitare électrique à caisse pleine, apparue en 1952, c'est grâce à la collaboration entre Gibson et Les Paul et entre Les Paul et Epiphone ( qui n'était pas encore la sous marque de Gibson ), qu'a pue naître la Les Paul. C'est en sciant une Epiphone en deux pour y ajouter une plaque de bois avec des micros et un manche de Gibson qu'est née la première guitare Solid Body la " Les Paul Log " ( 1941 ) inconnue du grand publique, il fallu attendre 1950 pour voir la fabrication de la " Gibson Les Paul " commencer, même si elle ne portait pas tout de suite le nom de la marque ( voir l'histoire de la guitare électrique Gibson ) mais ce n'est que 2 ans plus tard qu'elle fera parler d'elle.
La Gibson SG (Solid Guitar)
La Gibson SG est née en 1961, la forme existait depuis un peu plus d'un an mais avec le nom de " Les Paul Junior ", quand dans le début des années '60 les ventes de Gibson n'étaient pas suffisantes par rapport au attentes de la firme, il décidèrent de faire un nouveau modèle plus percutant, Les Paul a travaillé pendant un an sur un modèle à deux échancrures mais sans être satisfait du résultat, finalement il trouve une nouvelle forme, et la baptise SG qui veut dire Solid Guitar, du fait que le corps est fait en une pièce, la SG est aussi le premier modèle électrique de chez Gibson qui était équipé un vibrato, devenue mythique grâce notamment à Angus Young le fameux guitariste d'AC/DC, ou à Tommy Iommi le guitariste de Black Sabbath, elle se décline en beaucoup de types différents auhourd'hui.
⁃ La « SG » , c'est d'abord un surgeon de la « Les Paul » première version qui sort en 1959 est d'ailleurs estampillée « Gibson Les Paul Junior », avant de devenir la « Gibson SG » en 1961. Si les premiers exemplaires portent la signature « Les Paul » c'est parce qu'il s'agit d'un modèle pensé par Les Paul, une évolution de la Les Paul. Evolution d'abord introduite dans la Gamme junior dans le but de concurrencer la Fender Stratocaster ( sortie en 1954 ) dont le prfil donnait un meilleur accès au frettes aiguës , mais Les paul ne ratifie pas le changement, son contrat d'endorsement arrive à terme, et Gibson choisit de présenter la " déclinaison " comme un modèle à part entière dont le guitariste ne serait pas l'embassadeur.
⁃ Fin des années '50, aucune personnalité si ce n'est Les Paul lui même, ne joue sur la Gibson à corps plein qui porte son nom. Or la renommée musicale du guitariste bat de l'aile et les ventes s'en ressentent. Un troisième micro sur la Les Paul Custom et un habillage « Cherry Sunburst » pour la « Les Paul Standard » n'y changeront rien aux ventes. En 1961 toute la ligne Les Paul est alors rénovée pour un nouveau corps : plus fin, plus léger avec deux " cornes " coupées ( cutaway ) pour un design agressif, et un meilleur accès aux frettes pour les solos aiguës. Les innovations séduisent : les ventes de la Les Paul Standard et Spécial augmentent, mais Les Paul ne se passionne pas par ce nouveau design, et son contrat de 10 ans signé en 1952 arrive à expiration, Les Paul en pleine période de divorce ( avec Mary Ford ) décide de ne pas le renouveler, c'est pourquoi la Les Paul nouvelle génération acquièrent le nom de « SG » en 1963 alors que la firme décide d'arrêter la production de la Les Paul originale. Très vite les ventes de la « SG » évoluent, et vers la fin des années '60 ( 1967 env ) à la surprise de Gibson, la demande pour les Les Paul « vintage » se fait ressentir plus que jamais quand des guitaristes comme Keith Richard ou Eric Clapton adoptent le modèle, Gibson refait alors appel à Les Paul et relance la production en 1968, en sont ( re ) nées les
mythiques « Les Paul Goldtop Standard » et la « Les Paul Custom », plus connue sous le nom de « Black Beauty », et Les
Paul redevient l'ambassadeur de son modèle, un modèle qu'on distingue à présent parfaitement de ce qui ne devait être qu'une évolution : la SG. Ce dernier modèle à la forme originale offre un meilleur Sustain ( duré de la note ), pour un poids réduit et un corps fait uniquement d'acajou contrairement à la « Les Paul » qui a une table d'harmonie en érable. Certains modèles de la gamme SG étaient équipés d'un vibrato type Bigsby, ou type Gibson. La SG se décline sous beaucoup de formes plus ou moins différentes, le modèle étant redessiné pour chaque gamme, ainsi de petites différences sont remarquables si on compare toutes les gammes du modèle, la SG suprême est montée avec un manche 24 cases ( très rare chez Gibson ), la SG Voodoo et la SG Menace se distinguent par leur finition " Dark ", mais les différences sont plus subtiles que ça, que ce soit au niveau de la jonction du manche avec le corps, des chanfreins sur le corps, de l'inclinaison de la tête de manche, les changements sont bien présents, et servent aussi bien à changer qu'à identifier et authentifier l'instrument. Il faut dire que depuis les années '20 beaucoup d'eau à coulé sous les ponts et que la Firme à dû savoir s'adapter à un marché qu'elle ne visait pas : le moyenne gamme. La firme ayant racheté Epiphone en 1959, sort déjà depuis longtemps des instruments " Bas de gamme " pour concurrencer les marques asiatiques qui prenaient ce créneau et qui ont su trouver un style qui leur allait : Le Métal. Les études du marché ont poussé les techniciens de chez Gibson à faire des instruments " à la mode " plutôt que des instruments ( tout court ). Même si des retours aux vieux designs sont opérés de temps en temps ( les gammes " Reissues " ) on ne peut que regretter de vivre à une époque ou le marketing influe autant.
La Gibson ES-335
« Le Meilleur des deux Mondes », l'initiative est louable, encore faut-il qu'elle soit couronnée de succès. C'est le cas de


l'idée de
Ted Mc Carty, lequel parvient en 1958 à réaliser une alliance entre la résonance du corps creux et le Sustain du corps plein, sans oublier la finition de ce dernier. « Certains musiciens n'aimaient pas les guitares électro-acoustiques car elles conservaient les défauts de leurs congénères acoustiques, Explique Mc Carty en 1993, débranchée leur puissance sonore était trop faible, mais une fois branchées elles devenaient incontrôlables. D'autres appréciaient la clarté du son de la Les Paul. Il nous fallait don créer un modèle pour ceux qui voulaient la réverbération naturelle du corps des acoustiques mais plus de puissance qu'une
L-5 par exemple, sans atteindre l'aigu d'un " corps plein ". La 335 était un compromis. Présentée au printemps 1958, la guitare n'est pas seulement un modèle de plus, elle inaugure tout une catégorie de six cordes appelées «
semi-corps plein » «
ou semi- corps vide ». Bien que d'autres modèles électriques aient déjà combiné un corps solide à des éléments des corps creux, la 335 naît de préoccupatons sonores et non mercantiles. De plus, elle se distingue par bien des aspects : un cordier d'arrêt sur une guitare à corps creux ( du moins qui paraît l'être ) n'est pas seulement surprenant mais semble alors physiquement impossible. Bien sûr le corps cache son secret : il contient un bloc solide d'érable fixant le manche et dotant l'instrument d'une haute finition et d'un bon sustain
Retour vers le Futur
Les premières Les Paul innovaient, mais elles ressemblaient tout de même à des Gibson : les racines Kalamazooïdes étaient bien visibles. Bioentôt Ted Mc Carty et son équipe se sont mis à s'amuser : S'il fallait désormais penser la guitare en terme de poids et de densité, plus qu'en terme de résonance et de vibration, pourquoi ne pas se lâcher ? Donnons-lui la forme d'un éclaire et baptisons-la " Explorer ", ou la forme d'un aileron pour l'appeler " Flying V ". On peut même reprendre une silhouette existante l'inverser et en faire une nouvelle..." la Firebird "
La Gibson Explorer
L'Explorer originelle est en Korina, un bois africain un peu jaunâtre, petite soeur de la Flyng V née la même année (1958). Si sa forme évoque l'éclair, le modèle connaît d'abord un échec fulgurant, puisque la production est stoppée net en 1959... Une guitare en avance sur son temps... Il fallut attendre 16 ans pour voir Gibson en relancer la production, ( mais en quantité limitée ) quand Gibson constate le succès des homologues vendus par la concurrence. Notamment la " Hamer Standart " de 1974, hommage avoué à l'intention de Gibson ( très prisé des musiciens de rock progressif ) et le modèle " Kelly ", sur laquelle joue Marty Friedman de Megadeath, lancé par Jackson, que Gibson attaque d'ailleurs à cette occasion ( Jackson est aujourd'hui rattaché à Fender ). Dans les années '70 Eric Clapton joue occasionnellement sur une Gibson Explorer ( durant la tournée de « 461 Ocean Boulevard » ). Matthias Jabs de Scorpions joue sur un modèle de 1978. Mais les deux grands artistes qui popularisent le modèle, ce sont surtout James Hetfield de Metallica ( « Ride the Lightning » ) et the Edge de U2. En 2003 la série X-Factor reprend le flambeau : le design est similaire ( toujours avec les trois potentiomètres alignés ) et la guitare se destine surtout aux musiciens Rock et Métal ( à moins de changer les micros, qui ont un son gras et précis à la fois ). Son poids et son ergonomie interdisant l'instrument aux petits-gabarits, Gibson lance des versions plus " maniables " telles la « X-Plorer Studio ».
La X-Plorer
La Gibson Flying V
La paternité du design si atypique de cette guitare qu'on rencontre surtout chez les métalleux n'est pas des plus claires. ( Mc Carty la revendiquera < en collaboration avec un artiste local >> sans plus de précisions quant à l'identité de la personne en question, et sans que le brevet de 1957 ne mentionne lui d'autre nom ). Si elle apparaît en 1958 en même temps que ses soeurs < l'Explorer > et < la Moderne >, elle se révèle, de par sa forme la plus marquante et la plus sensible au scepticisme ambiant. Mc Carty expliquera rétroactivement comment les magasins n'en avait d'abord acheté une pour leur vitrine de façon à attirer les gens dans leurs magasin, sans en avoir en stock, et donc sans réelle intention de la vendre ou de la conseiller. Le modèle n'est pas tout de suite pris au sérieux, et il faudra attendre le boom des guitares vintage ( 1967 env ) pour voir les Flying V originales ( d'une qualité et d'une rareté extraordinaire ) se vendre pour des milliers, puis des dizaines de milliers de dollars. « Le public était demandeur de finitions, déclara Mc Carty en 1978, si nous les avions confectionnées en érable, elles auraient été trop lourdes. Et si nous aurions utilisé de l'acajou, nous aurions dû le javelliser pour obtenir la couleur que nous souhaitions, un procédé peu satisfaisant puisqu'il s'est avéré que le bois se mettait à se décolorer complètement après quelques années. Or le korina ( un bois Africain )est jaune pâle, et son grain similaire à celui de l'acajou. Ce bois était donc idéal ». Idéal aussi, pour les premiers acquéreurs de cette guitare produite en quantités limitées, lesquels ont vu depuis leur audace récompensée via la côte qu'atteint désormais l'instrument sur le marché vintage. Le bois de Korina étant devenu une essence protégée, les modèles actuels sont presque toujours réalisés en Acajou ( comme la plupart des Gibson ), or les connaisseurs ne manqueront pas de vous vanter le matériau originel et son rôle dans le son des premiers instruments. En outre la Flying V de 1958 présente trois potentiomètres alignés, des épaules carrées, des pièces en métal dorées, une cale à travers laquelle passent les cordes, et un logo en relief. « L'idée des cordes sur toute la longueur du corps de la guitare nous est venue quand nous nous sommes aperçus que ce nouveau design ne laissait pas assez de place pour un chevalet. Et les premiers modèles avaient tendances à glisser quand on jouait assis, alors nous avons choisi du plastique gondolé pour la tranche ». Un peu comme pour la Les Paul, l'histoire de la Flying V est marquée par des ventes insuffisantes, cette fois plus alarmantes d'ailleurs : en 1959, moins de 100 modèles sont vendus, ce qui entraîne un arrêt de la production. Puis quand des artistes comme Jimy Hendrix ( encore lui ) l'adoptent à la fin des années '60, séduit par son look si particulier et surtout par le son de l'instrument, le modèle est relancé. Mais quand la branche Custom s'attèle à la création d'un modèle de 1959, la plupart des dessins s'avèrent avoir été perdus pendant le transfère des affaires lors de la fermeture des établissements de Kalamazoo, ce qui complique les choses. Les techniciens sont ainsi contraints de réunir des instruments vintage pour les examiner de façon à recréer des plans précis. Les premiers prototypes naissent en 1991 et sont présentés à une convention du NAMM ( National Association of Music Merchants ) la même année, en tout et pour tout, un certain nombre de modèles de cette guitare beaucoup moins répandue que la Les Paul et la SG ont été commercialisés, souvent associés à des guitaristes prestigieux tels Jimi Hendrix, Eddie Van Halen, Albert King, ou James Hetfield.
La Flying V est née de d'un coup de tête de Gibson qui voulait surprendre kit à être complètement décalé, et c'est en 1958 qu'est né ce modèle, qui à dû attendre la naissance du Hard rock dans les années '70 pour être à sa place.
La Firebird
C'est en 1953 qu'apparait le Firebird version arrondie de l'Explorer, alors peu prisée. Malheureusement un problème survient avec Fender concernant la forme de l'instrument, et en 1965, Gibson doit changer le dessin de cette guitare trop proche des Fender. Les modèles 1963/65 connus sous le nom de " reverse-body " ( la tête de manche est inversée, les mécaniques vers le bas ) se distinguent des modèles 1965/67 appelés " non-reverse-body ". Les Firebird originals inversées (" reverse-body ") sont très recherchées.
Firebird studio Fierbird V Firebird VII